« Qui arrête de travailler, commence à mourir ! » Ferrucio Lamborghini.

Cette phrase du fondateur de la marque nous rappelle une époque sombre de Lamborghini, celle des années 90.

 

Période durant laquelle les mots fiabilité et finition étaient étrangers au vocabulaire de la marque Bolognese.

Pourtant la passion et le cœur y étaient, mais il ne manquaient qu’aux ingénieurs un peu de structuration et d’organisation dans leur travail pour atteindre un vrai succès.

 

Tout était fait artisanalement sans tous les process de contrôle qualité que nous connaissons aujourd’hui. Alors certes une Lamborghini Diablo, c’est splendide, mais n’allez pas espérer la rouler tous les jours.

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Cela causera presque la faillite de la marque, si, en 1998 un certain constructeur aux 4 anneaux n’était pas venu relancer la partie.

Leur rachat par Audi les sauvera car les deux marques furent au final très complémentaires, la passion et le design restent avec Lamborghini et Audi quant à eux reprennent la partie technique et électronique. Tout cela créa de nouvelles voitures bien plus fiables et utilisables au quotidien, telles que les fameuses Murcielago et Gallardo, mais aussi par la suite, la descendante directe de cette dernière, la Huracan.

 

Le modèle précis que vous voyez aujourd'hui est la LP 610-4, qui traduit du jargon technique de Lamborghini, veut dire Longitudinale Posteriore (référence au placement du moteur), 610 pour le nombre de chevaux que son V10 délivre (même moteur que sa cousine la R8 V10) et le 4 car c’est une quatre roues motrices. Très aboutie en terme de technologie et de plaisir de conduite, nous n’avons aucun doute sur le fait que notre client, Mr. D profitera pleinement de ce bolide.

Merci pour votre confiance.